« Pour Jean-Claude Rennwald, l’érosion de la gauche n’a rien d’irréversible. A condition de se mobiliser sur les valeurs fondamentales que son la solidarité et l’ouverture (…) La gauche doit également miser sur son unité et comprendre que la conquête de l’appareil d’Etat et le développement des mouvements sociaux sont les deux facettes d’un seul et même combat. »
                        Pierre Noverraz,
L’Evénement syndical, 27 novembre 2002.

« Au nombre des autres commandements propres à faire gagner cette gauche à laquelle le Jurassien s’identifie, on retiendra ceux-ci, exprimés dans le titre propre au genre : autocritique et analyse tu étendras, innovation et imagination tu soutiendras, formation et communication tu développeras, vertus du militantisme tu honoreras, ouvertures européennes et mondiales du retiendras et plaisir de gagner tu savoureras. »
Jacques Stadelmann
                        Journal du Jura, 2 décembre 2002.

« Les élections fédérales auront lieu à l’automne prochain. Le conseiller national Jean-Claude Rennwald en profite pour s’interroger sur l’avenir de la gauche, en Suisse et en Europe. »
Pierre Boillat
La Région, 12 décembre 2002.

 « Jean-Claude Rennwald montre que les socialistes, la gauche et les syndicats ne pourront retrouver la confiance des salariés qu’à la condition de répondre concrètement à leurs aspirations, de rompre le consensus mou et d’insérer leur combat dans les luttes qui visent à construire une Europe sociale et à maîtriser la mondialisation. »
                        Le Jura libre, 12 décembre 2002.

« Si l’on accorde à l’UDC un deuxième siège au Conseil fédéral, le Parti socialiste doit quitter le gouvernement. » Ca, c’est l’une des phrases-clés du dernier livre du conseiller national jurassien et syndicaliste FTMH Jean-Claude Rennwald. Il y en a d’autres. »
                        Georges Plomb
La Liberté, 18 décembre 2002.

 « Jean-Claude Rennwald est convaincu que « la combativité, ça paie ». La preuve : 5 des 8 cantons où la gauche et les socialistes ont réalisé les meilleurs scores aux élections de 1999 sont romands : Neuchâtel, Genève, Vaud, Fribourg, Jura. Presque toujours, ce sont les formations de la gauche les plus combatives qui seraient à l’origine du succès. »
L’Impartial, 18 décembre 2002. 

« Oui à Couchepin, non à Rennwald. Les camardes socialistes Gygi et Leuenberger ont ouvert toutes grandes les surfaces de vente de La Poste au livre du conseiller fédéral Pascal Couchepin, « Je crois à l’action politique ». En revanche, « La gauche qui gagne », ouvrage du conseiller national socialiste Jean-Claude Rennwald, ne sera pas en vente dans les échoppes du géant jaune. Le 16 décembre dernier, le politicien jurassien a appris, par lettre, que sa demande de commercialisation de son bouquin par La Poste était refusée. D’où sa colère : « Il s’agit d’une entrave à la concurrence. Je suis choqué des contradictions émanant de la direction de La Poste, qui défend tous azimuts la libéralisation du marché et qui ne l’applique pas dans ses actes. »
Jean-Pierre Molliet
Le Matin, 20 décembre 2002.

« C’est cet embourgeoisement que Jean-Claude Rennwald combat par son dernier livre, « La gauche qui gagne ! » Sous ce titre-slogan, il veut faire passer l’idée d’une gauche forte, mue par des militants actifs, imaginatifs et motivés. »
Mathieu Grégoire-Racicot
Le Quotidien jurassien, 30 décembre 2002.

« Conseiller national jurassien, membre du comité directeur du syndicat FTMH, Jean-Claude Rennwald est tout d’une pièce, et c’est peu dire que son dernier livre est d’abord un ouvrage de conviction, un livre de militant. C’est que Jean-Claude Rennwald fait partie de cette frange impatiente des socialistes romands qui tentent d’incurver la ligne, trop molle et consensuelle selon eux, du PSS. »
Yves Petignat
Le Temps, 31 décembre 2002.